- palanquer
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• 1618; de palenc → palan1 ♦ V. intr. Mar. Se servir d'un palan.2 ♦ V. tr. (1836) Fortif. Munir de murs de retranchement faits de troncs d'arbres, de gros pieux jointifs plantés verticalement.palanquerv. intr. Lever avec un palan.⇒PALANQUER, verbe trans.Déplacer à l'aide d'un ou de plusieurs palans. Une erse pour palanquer un bras de vergue (GALOPIN, Lang. mar., 1925, p.40). Les pièces étaient lourdes pour eux deux, mais ils avaient monté une chèvre, et palanquaient les grosses pannes (LA VARENDE, Amours, 1944, p.74).Prononc. et Orth.:[
], (il) palanque [
]. Lar. Lang. fr.: ,,On dit aussi palanguer``. Étymol. et Hist. 1618 «transporter au moyen d'un palan» (A. D'AUBIGNÉ, Hist. universelle, t.2, p.293). Dér. de palenc, palanc, formes anc. de palan; dés. -er.
1. palanquer [palɑ̃ke] v. intr.ÉTYM. Fin XVIe; d'une anc. forme de palan. → Palan.❖♦ Exécuter une manœuvre au moyen d'un palan. — REM. On dit aussi palanguer [palɑ̃ge] (1771).————————2. palanquer [palɑ̃ke] v. tr.ÉTYM. 1836; de palanque.❖♦ Techn. (Fortif.). Munir de palanques. || Palanquer la gorge d'un ouvrage.
Encyclopédie Universelle. 2012.